King’s Highway: une histoire client Prevost

King’s Highway: une histoire client Prevost

« J’aime conduire. C’est pour ça que je suis dans le métier », affirme Tom Walter, propriétaire et chauffeur de King’s Highway Charters & Tours. « Enfin, deux raisons pour lesquelles je suis dans le métier. La première, c’est que j’aime conduire, j’aime aller à des endroits différents et j’aime les gens. Donc oui, j’aime ce que je fais. Nous voyageons à peu près partout en Amérique du Nord et j’adore voyager, j’adore partir, mais j’aime toujours revenir ici. C’est comme retrouver son patelin. »

L’université Texas Tech est un client de longue date de King’s Highway.

« King’s Highway est un grand partenaire de Texas Tech Athletics et Tom et Vickie sont des gens vraiment bien », raconte Kirby Hovutt, directeur sportif de Texas Tech. « Il n’y a personne qui soit plus fiable pour Texas Tech Athletics qu’eux. »

« C’était ma plus grande fierté. Peu importe où nous sommes, les gens les prennent en photo. Un jour, j’avais une voiture à côté de moi roulant à 70 milles à l’heure sur l’autoroute et la femme de ce type était pendue à la fenêtre pour prendre une photo de l’autocar. J’étais assez sélectif quant à qui le conduisait et qui montait à bord, parce qu’il était assez spécial », ajoute Tom.

Le 6 janvier 2022

« Ce qui nous amène au 6 janvier. L’équipe masculine de basketball de Texas Tech était en vol pour Ames, Iowa. Je me disais, “Je n’ai plus qu’une heure et demie encore à faire.” Et c’est là que j’allais passer la nuit. Je conduisais, j’ai levé les yeux et j’ai vu ce véhicule sur l’accotement. Et juste au moment où j’arrive à sa hauteur, il traverse la route sur toute la largeur. C’est arrivé si vite que ça m’a fait dévier sur le terre-plein central », explique Tom au sujet de l’accident.

« C’était un passage en terre battue pour les véhicules d’urgence et il faisait environ, je dirais environ 1,5 mètre de haut, et je roulais trop vite. Ma seule option était de le heurter ou de m’engager dans la circulation en sens inverse. Je n’avais pas le temps. Je l’ai percuté, probablement à 50 ou 55 milles à l’heure. »

« Quand nous sommes allés là-bas plusieurs mois plus tard pour examiner le véhicule et le lieu de l’accident », ajoute Vickie Walters, l’épouse de Tom. « Quand nous sommes arrivés à l’endroit où l’autocar avait été projeté dans les airs, j’ai commencé à pleurer. J’ai dit à Tom, je lui ai dit, “Je ne sais pas comment tu as pu survivre à ça.” Grâce à la sécurité de l’autocar, il est en vie. Tout ce qu’il y avait à l’intérieur de l’autocar a traversé le pare-brise, sauf Tom. J’ai dit alors, “Nous n’achèterons que des Prevost.” »

Grâce aux dispositifs de sécurité de son autocar Prevost, Tom s’en est sorti avec des blessures mineures. King’s Highway travaille actuellement avec Volvo Financial Services pour passer à un parc de véhicules 100 % Prevost.

« Rien n’explique que je sois encore ici à part les dispositifs de sécurité du véhicule et le Seigneur qui veille sur moi », affirme Tom. « Je ne peux même pas, je n’arrive même pas à décrire mes propres sentiments quand je suis retourné et que j’ai regardé le véhicule et vu l’ampleur des dommages, et que je m’en suis sorti. »

Après l’accident, Tom a dépêché un deuxième autocar pour aller du Texas à l’Iowa. King’s Highway a terminé le périple sans que ses clients ne soient au courant de la collision.

« Le simple fait que vous ayez vécu un accident qui change votre vie comme celui-là, qui vous affecte physiquement, qui fait évidemment beaucoup de dommages à l’autocar, mais que vous vous dites en premier, “Comment puis-je me rendre à Ames, Iowa pour récupérer l’équipe de basket de Texas Tech ?” Ça en dit long sur Tom et sur King’s Highway en tant qu’entreprise. Nous sommes très chanceux d’avoir un partenaire comme King’s Highway » poursuit Kirby.

Après la collision, Volvo Financial Services a restructuré les paiements de King’s Highway afin de leur accorder un répit. 

« Honnêtement, quand je monte à bord d’une autre marque d’autocar je ne me sens pas à l’aise. Ça me donne envie de ne pas conduire un autre autocar que Prevost et de ne pas le faire financer ailleurs que chez Volvo Finance. Ils ont juste, ils se sont vraiment pliés en quatre pour nous aider. Les mots me manquent pour les remercier tous les deux », conclut Tom.